Comment notre cerveau prend-il les bonnes décisions ?
23/07/2019
Le centre de la prise de décision se situe dans le cortex frontal de notre cerveau, le siège de la pensée supérieure. C'est du moins ce que pensaient les neuroscientifiques jusqu'alors. Parce que des chercheurs de l'université Yale (États-Unis) viennent aujourd'hui remettre cette idée en question.
Selon eux, trois circuits cérébraux distincts se connectant à différentes régions du cerveau -- l'amygdale ou les noyaux accumbens -- sont impliqués dans la prise des bonnes -- et des mauvaises -- décisions et dans la mémorisation de ces décisions. Cette découverte pourrait aider à expliquer comment le cerveau des personnes atteintes de troubles de la santé mentale peut prendre des décisions hasardeuses.
Des pompiers apaisent les victimes grâce à l'hypnose
11/06/2019
Pour soulager les blessés dans des situations traumatisantes, les pompiers du Bas-Rhin se forment à l'hypnose, une initiative unique en France.
«Regardez-moi fixement dans les yeux. Votre esprit s'évade, votre corps s'apaise!» Au centre de secours d'Haguenau, quelque 120 pompiers ont déjà acquis des bases des techniques hypnotiques, utilisables par exemple pour prendre en charge une personne incarcérée dans sa voiture accidentée, ou coincée sous des gravats, ou encore victime d'une crise d'asthme ou de spasmophilie. Pendant qu'une équipe de pompiers s'affaire pour préparer une perfusion ou du matériel de désincarcération, le secouriste formé à l'hypnose s'efforce d'instaurer un contact privilégié avec la victime, puis de dévier son attention loin de la scène traumatisante qu'elle est en train de vivre. Attentif à son rythme respiratoire, il adopte une élocution apaisante et veille à éviter tout vocabulaire négatif - il évoquera ainsi le «bien-être» de la personne plutôt que sa «douleur».
«Ce sont des techniques verbales, gestuelles, respiratoires, qui visent à apaiser la douleur et l'anxiété, mais ne doivent évidemment pas se substituer aux gestes classiques du secourisme», explique Cécile Colas-Nguyen, sage-femme, officier infirmier chez les pompiers du Bas-Rhin et formatrice en hypnose médicale. (Sources: AFP, Reuteurs Agence, Le Figaro)
Lionel Naccache est l'invité du Grand entretien de France Inter
11/06/2019
Lionel Naccache, neurologue et professeur à la Pitié-Salpêtrière, est l'invité de la matinale de France Inter.
En 2010, il est nommé professeur de médecine en physiologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Il est chercheur en neurosciences cognitives à l'Institut du cerveau et de la moelle épinière.
LE TABLEAU DES ÉMOTIONS DE LA SEMAINE (TÉLÉCHARGEMENT GRATUIT)
11/06/2019
télécharger un tableau et des émoticones pour avoir une vue d’ensemble des émotions prédominantes ressenties par les membres de la famille au cours de la semaine.
Ce qui est interessant est de remplir ce tableau chaque soir afin de faire un point sur les 3 émotions ou ressentis majeurs de la journée ainsi que sur les causes possibles qui donneront peut-être lieu à des actions pour améliorer la situation.
Le gros avantage que j’y vois est tout d’abord une distanciation face aux émotions qui nous submergent parfois et une impression de rester acteur positif face à ces émotions. (Sources: Papapositive.fr)
Les personnels du SAMU 69 sont formés à l’hypnose pour améliorer la prise en charge des patients et calmer la douleur des victimes.
L’hypnose est utilisée sur les enfants et les adultes. Les résultats sont étonnants et encourageants.
10 à 15% des personnels formés
Ces derniers mois, sur les 200 personnels du SAMU, une quinzaine d’assistants de régulation médicale gérant les appels au 15, d’ambulanciers, d’infirmiers et de médecins ont été formés à l’hypnose conversationnelle ou l’hypno-analgésie. « Dans le premier cas, il s’agit d’avoir une communication positive avec le patient, dès l’appel au 15 ou dès notre arrivée sur le lieu où nous intervenons. Dans une activité d’urgence stressante, il peut arriver qu’il y ait des réactions violentes. L’hypnose permet d’éviter les tensions, de calmer l’angoisse des patients », ajoute le professeur Gueugniaud.
Lorsque la situation de la victime le permet, pour les traumatismes notamment, la transe hypnotique est pratiquée en même temps que le reste des soins. « Pour les enfants, nous avons trois mallettes de jeux adaptés aux différents âges. Grâce à ces outils, nous les emmenons dans leur monde. Le patient se sent considéré et il ne focalise plus sur la situation qu’il vit ou sur la douleur », explique Raphael Distante, un infirmier en poste au SAMU depuis 7 ans. ( Source: https://www.20minutes.fr)
Grâce aux sciences de l’épigénétique et de l’hypnose, nous pouvons comprendre les modifications qui nous ont été transmises à travers nos gènes, et établir une communication avec notre ADN, dans le but de freiner la survenue de dangereuses mutations génétiques (cellules tumorales ou cancéreuses).
En effet, des formes de connexions, impossibles à percevoir par le sens humain, peuvent s’établir en dehors des notions de temps et d’espace, mais à travers lesquelles des informations se transmettent indéfiniment. Ce processus se déclenche naturellement et en toute efficacité lorsqu’un individu est totalement relaxé. Cette découverte a été considérée comme une nette avancée dans la compréhension de notre patrimoine génétique. Grâce notamment au concours de l’hypnothérapie, les vibrations énergétiques et le langage ont, en quelque sorte, emboité le pas au processus biochimique qui s’exécute naturellement et de façon systématique dans nos cellules.
Deux éminents spécialistes des sciences génétiques, en l’occurrence les docteurs Luc Montagnier et Glen Rein, ont prouvé respectivement que les états de stress, d’anxiété, d’inquiétude, ou bien un cerveau en état d’hyperactivité peuvent empêcher l’établissement d’une communication consciente avec notre ADN. Le prix Nobel Luc Montagnier a ainsi démontré qu’un niveau de fréquence électromagnétique de 7 hertz pouvait activer les photons de l’ADN. Le Dr Glen Rein a, pour sa part et à plusieurs reprises, réussi à prouver que les ADN réagissaient aux diverses émotions chez une personne. Lorsqu’une personne envoyait de puissantes pensées de colère, l’ADN « se déroulait » de lui-même et venait à mourir. À l’inverse, lorsque cette personne envoyait des pensées d’amour, l’ADN s’enroulait à nouveau et allait même jusqu’à guérir les autres cellules mourantes. (Source:https://www.espritsciencemetaphysiques.com)